•  MON ALBUM

     

    Historique

    De 1954 à 1986 notre entreprise produit des jeunes plants de géraniums pour les horticulteurs de toute la Suisse (20 % du chiffre d’affaire), ainsi que des érica gracillis et des poinsettias pour la vente en grandes surfaces (Migros Vaud, Valais et Neuchâtel) 80 % du chiffre d’affaire.
    1987 la relève arrive Michel et Pia Brönnimann rejoignent l’entreprise et créent la jardinerie dans la surface actuelle (pour vendre leur propre production).
    1991 agrandissement de la jardinerie et création de la boutique cadeaux.
    Les contacts avec nos collègues de Suisse Alémanique nous ont donné l’idée d’introduire un marché de Noël que nous avons inauguré au mois de novembre (c’était le 1er marché de Noël dans une jardinerie en Suisse romande).
    1994 reprise du Garden Centre de la Gruyère à la Tour-de-Trême 50 km de Noville.
    Cette jardinerie ne fait que de la vente. Elle est fournie par notre production de Noville.

     Spécialité de l’entreprise :

    Production de géraniums (100'000 pièces vendu entre nos 2 jardineries), ainsi que la culture et la vente de chrysanthèmes cascades et la production de 500'000 plantes de printemps. De plus depuis une dizaine d’années, nous nous spécialisons dans la vente de grands arbres (olivier, palmier,…).

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    Albums Photos

      

    Notre Ballade

    La Voie des Érables

     

    Empruntant ci et là d’antiques voies ou sentiers bordés de noisetiers, d’ormes, d’alisiers, d’érables..., dans la pente, le long des prés, des champs, des jardins…, parmi les abricotiers, les cerisiers, les pommiers..., dans les rochers parfois abrupts (avec murs, barrières et passerelle), en lisière de forêt, sur les rives de la Faraz, partout, n’importe où, bravement, notre Voie des Érables va son petit bonhomme de sentier.

    http://www.iserables.org/index.cfm?page=canada

    Isérables
    D'Aserablos à Isérables

    Aserablos, Heyserablo, Yserablo, Heserablo, Isérablos, de Acere, Asérablo … Isérables : la métamorphose d’un nom mais aussi d’un lieu, d’une culture, d’un peuple au fil du temps !

    Isérables est une commune située dans la petite vallée de la Faraz, qui s’étend sur 1532 ha, entre la plaine du Rhône à 476 m. et la pointe de Champs-Ferret à quelque 2750m. d’altitude.

    Epinglée au ciel à 1100m d’altitude, Isérables abrite une population de près d’un millier d’habitants et tire son nom de l’érable, arbre solide et abondant dans la région. Pour la première fois, il est fait mention d’Aserablos (ou Isérables) dans un acte de 1227, par lequel le Seigneur de la Tour vendait une partie de la dîme d’Aserablos au Chapître de Sion. Ce lieu était toutefois bien connu avant cette date. Les Romains et les Celtes y ont séjourné, ainsi que l’attestent les découvertes archéologiques.

    Le village d’Aserablos fut créé sur un petit épaulement ensoleillé près d’une source qui coule aujourd’hui encore sous l’église Saint-Théodule – patron de la paroisse. Tout au long de l’époque moyenâgeuse, Aserablos appartiendra tantôt aux Seigneurs de la Maison de Savoie, tantôt à l’Échêché de Sion, au gré des transactions et des batailles. Isérables devient une commune indépendante le 13 mars 1798, dans les limites de sa défunte Seigneurie. Ses habitants vivront en relatives autarcie et indépendance, à l’écart des grands passages jusqu’au milieu du XXe siècle. Seul un petit sentier muletier reliait le village à la plaine pour les échanges et l’approvisionnement en produits de première nécessité.

    La construction du téléphérique Riddes-Isérables en 1942 projette définitivement Isérables dans le XXe siècle. Les grands chantiers hydroélectriques des années 1950-1960 créent de nombreux emplois dans la région, permettant ainsi une diversification des revenus jusqu’alors essentiellement agricoles. L’implantation des industries (horlogerie en 1957 et orfèvrerie en 1963) prend le relais des chantiers hydroélectriques en fournissant des places de travail à la main d’œuvre locale. Ces industries ont toujours été actives et dynamiques pendant plus de 40 années, ce qui a fait d’Isérables une exception parmi les communes de montagne et évité ainsi un exode de ses habitants. Depuis quelques années, la situation est malheureusement moins favorable pour les industries en montagne.

    Un raccard en Suisse ou regard en Savoie[1] ou rascard en Val d'Aoste est un édifice montagnard en bois. Il constitue un grenier proche du chalet, posé sur des pilets[2] et palets pour que les souris et autres rongeurs ne puissent pas y entrer.

    La distinction entre raccard et grenier :

    • Le raccard a une aire centrale où on travaille le blé. Parallèlement à cette aire centrale, chaque propriétaire a une ou plusieurs parts (ou boxes) délimitées latéralement par des cloisons sommaires servant à séparer les avoirs de chacun.
    • Le grenier n’a pas d'aire centrale. Il est constitué, par étage, de deux locaux bien distincts et bien séparés, fermant chacun par une porte donnant sur les galeries d’accès placées à l’extérieur.

    Donc si on voit une construction sur pilets et palets comportant plusieurs portes en façade, c’est un grenier. Chaque propriétaire y stocke de la nourriture, des ustensiles, des vêtements etc. A contrario, une construction sur pilets et palets comportant une seule porte assez grande et placée au centre de la façade au niveau supérieur des palets est un raccard. Chaque propriétaire y stocke foin ou paille et y vient pour travailler le blé.

    Ce type de construction se trouve essentiellement en Valais, mais il est également présent dans deux vallées francophones italiennes du val d'Aoste, où ils sont appelés Rascards, notamment au Valtournenche et au val d'Ayas, qui furent intéressés autrefois par des migrations de gens walser du Valais. La vallée de Gressoney aussi est caractérisée par des rascards, appelés localement Städel : dans cette vallée, la civilisation walser a survécu jusqu'à nos jours, à la différence des deux vallées évoquées, aujourd'hui francophones.

     

    Erablière du Canada
    Pro Aserablos est maintenant copropriétaire d’une érablière dénommée la "Sucrerie d’Antan", au Canada, sise à quelques lieues de Plessisville.

    Elle nous donnera du sirop d’érable et nous vaudra de vraies relations de bon voisinage avec ce lointain Québec, si vaste mais aussi, finalement, proche de nous et à la mesure des cœurs.

    Pour visiter notre érablière – les intéressés ne manqueront pas –, il suffit d’un petit saut par-dessus l’Atlantique.
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