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http://www.bretagne.com/fr/en_ille_et_vilaine/que_faire/balades/balades_a_pied/pointe_du_grouin
http://docarmor.free.fr/valarmor/valest/cancale3.htm
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pointe_du_Grouin
La pointe du Grouin est la pointe la plus au nord de Cancale. Dans son prolongement se trouve le Phare de la Pierre-de-Herpin. Cette pointe sert à tracer la ligne de départ de la course de la Route du Rhum.
La pointe est dominée par un sémaphore construit en 1861 qui servait à surveiller le passage des bateaux au large. Il a été racheté en 2000 par le Conseil Général pour y accueillir le public et assurer la préservation des sites naturels de la Côte d'Émeraude. par la présence d'une exposition permanente gratuite. Elle offre une vue inédite sur la partie sud du Mont Saint-Michel.Cette pointe rocheuse et sauvage domine la mer de 40 mètres. Le panorama s'étend du cap Fréhel à Granville en passant par la baie du Mont Saint-Michel, au large des îles Chausey. Un sentier permet d'aller, à marée basse, explorer une grotte creusée dans la falaise.
L'île des Landes, qui est en face, constitue une réserve ornithologique et botanique.Depuis sa restauration la pointe du Grouin a été recolonisée par une végétation très variée et très riche. Une soixantaine d'essences végétales a été recensée en juillet 2007. Parmi les espèces on a identifié la criste marine, l'inule perce-pierre, la spergulaire marine, la petite centaurée marine, l'armérie, …
Le vent salé, les embruns, le piétinement, la pauvreté du sol favorisent certaines plantes. Les plantes halophiles (adaptées au milieu salé) se développent très bien.
Cette flore inextricablement liée à la faune (insectes, reptiles, oiseaux…) est une des richesses de la pointe du Grouin et, là aussi, une conservation et une protection du site s'imposent
En face de la pointe du Grouin se trouve l’île des Landes, une réserve ornithologique
Du fait de la situation stratégique de la Pointe, l'armée allemande y avait édifié un important réseau de blockhaus, toujours visible.
MON ALBUM
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http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Mont-Saint-Michel
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89quinoxe
MON ALBUM
Le Mont-Saint-Michel[1] est une commune française située dans le département de la Manche et la région Basse-Normandie qui tire son nom d’un îlot rocheux consacré à saint Michel où s’élève aujourd’hui l’abbaye du Mont-Saint-Michel.
L’architecture du Mont-Saint-Michel et sa baie en font le site touristique le plus fréquenté de Normandie et le deuxième de France (après l'Île-de-France) avec plus de 3 000 000 visiteurs chaque année[2] (3 250 000 en 2006 [3]). Une statue de saint Michel placée au sommet de l’église abbatiale culmine à 170 mètres au-dessus du rivage. Élément majeur, l'abbaye et ses dépendances sont classés au titre des monuments historiques par la liste de 1862[4] (60 autres constructions étant protégées par la suite[5]) ; la commune et la baie figurant depuis 1979[6] sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.
La commune est peuplée de 42 habitants[7] (les Montois).
Les Fraternités monastiques de Jérusalem sont présentes depuis 2001 au Mont, ce qui fait resurgir son caractère religieux.
Le rocher[modifier]
Le mont Saint-Michel est un îlot rocheux granitique situé à l’est de l’embouchure du fleuve du Couesnon, rocher sur lequel a été construit un sanctuaire en l’honneur de l’archange saint Michel à partir de 709. Antérieurement à cette date, il fut connu comme le « mont Tombe ». Pendant tout le Moyen Âge, il fut couramment appelé « mont Saint-Michel au péril de la mer » (Mons Sancti Michaeli in periculo mari).
Le rocher ne représente qu’une petite partie de la commune qui s’étend aussi sur la digue et plusieurs dizaines d’hectares de polders. La partie essentielle du rocher est couverte par l’emprise au sol de l’abbaye du Mont-Saint-Michel et de son domaine.
Le mont Saint-Michel, situé à 48°38'10" de latitude nord et à 1°30'40" de longitude ouest, baigne dans la baie du mont Saint-Michel, ouverte sur la Manche. L’îlot est une excroissance granitique d’environ 960 mètres de circonférence, qui atteint 92 mètres d’altitude et offre une superficie émergée d’environ 7 ha, au-dessus de laquelle s’élève l’abbaye. Cet îlot s’élève dans une grande plaine sablonneuse.
En 1846, Édouard Le Héricher le décrivait ainsi : « Le Mont Saint-Michel apparaît comme une montagne circulaire qui semble s’affaisser sous la pyramide monumentale qui la couronne. On voudrait prolonger sa cime en une flèche aiguë qui monterait vers le ciel (la flèche actuelle ne date que de 1899), dominant son dais de brouillards ou se perdant dans une pure et chaude lumière. De vastes solitudes l’environnent, celle de la grève ou celle de la mer, encadrées dans de lointaines rives verdoyantes ou noires.
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